Subventions de mieux-être en milieu de travail

Une main-d'œuvre en bonne santé est une main-d'œuvre solide. Les habitudes négatives, comme fumer du tabac et être sédentaire, par exemple, coûtent aux employeurs entre 200 et 600 dollars par an en prestations de soins de santé, à partir de 2010, selon Martin Sepulveda, MD, vice-président des services de santé de la société IBM. Selon le Wellness Council of America, les subventions au bien-être en milieu de travail permettront aux employeurs d'économiser entre 1.50 $ et 3 $ pour chaque dollar dépensé.

Loi sur la protection des patients et les soins abordables

Les activités physiques de routine font partie intégrante de tout programme de bien-être.

Le 23 mars 2010, la loi sur la protection des patients et les soins abordables, PPACA, a été promulguée. L'article 10408 de la loi permet au Health and Human Services, HHS, d'allouer 200 millions de dollars en subventions aux petites entreprises admissibles entre 2011 et 2015. Les critères des programmes complets de mieux-être au travail sont fondés sur des recherches factuelles et des meilleures pratiques. Les trois principales lignes directrices utilisées pour élaborer ces critères sont: le Guide des services communautaires de prévention, le Guide des services cliniques de prévention et le Registre national des programmes efficaces.

Conditions d'admissibilité aux subventions

L'huile de poisson fait partie d'une alimentation saine pour le cœur.

Le programme de subventions au bien-être est ouvert aux petites entreprises de moins de 100 employés qui travaillent plus de 25 heures par semaine. Pour être pris en considération, les employeurs ne doivent pas avoir de programme de mieux-être préexistant au 23 mars 2010, date de la signature de la loi. Les employeurs doivent soumettre des candidatures et des propositions de programme au HHS. La législation sur les réformes de la santé ne quantifie pas le montant de la subvention par employeur ou employé, ni aucune obligation pour l'employeur de fournir des fonds de contrepartie. En outre, à partir de 2010, en vertu de la loi fédérale sur la transférabilité et la responsabilité de l'assurance maladie, HIPAA, les employeurs peuvent offrir entre 20 et 30% de rabais sur le coût des primes de soins de santé individuelles ou familiales pour les employés qui participent à des programmes de bien-être et satisfont les état de santé standard. Ce montant peut passer à 50% d'ici le 1er janvier 2014, si le HHS et le Trésor l'approuvent.

Lignes directrices du programme de subventions au mieux-être

Le maintien d'une tension artérielle saine est essentiel au bien-être.

Les candidats doivent développer et mettre à disposition un programme complet de mieux-être au travail pour tous les employés. Le programme devrait mettre l'accent sur la sensibilisation à la santé et inclure l'éducation sanitaire, la prévention, les dépistages et les évaluations des risques pour la santé. Les employeurs devraient inciter les employés à participer. Les candidats doivent démontrer comment ils prévoient d'aider les travailleurs à améliorer leur santé, avec des conseils, des séminaires, des programmes en ligne et d'autres matériels d'auto-assistance, par exemple. Les employeurs doivent créer un milieu de travail sain en encourageant les choix alimentaires sains, l'exercice et la gestion du stress.

Santé est la richesse

Une bonne santé physique habilite les travailleurs.

La santé est la vraie richesse, car sans elle, rien d'autre n'a beaucoup d'importance. Un travailleur en mauvaise santé ne peut pas être productif de manière optimale et une entreprise en mauvaise santé ne peut pas être prospère de manière optimale. Par conséquent, les programmes de mieux-être au travail sont dans le meilleur intérêt de tous. Ces programmes devraient au mieux encourager les employés à modifier les facteurs de risque négatifs pour la santé qu'ils peuvent contrôler, comme l'obésité et le tabagisme, par exemple. Les programmes de mieux-être en milieu de travail devraient idéalement fournir les outils aux employés pour accéder aux programmes sur place pour les comportements sains, le dépistage, les vaccinations et les conseils basés sur des facteurs tels que l'âge et le sexe du travailleur. En tant qu'employeur, si vous pouvez déplacer les travailleurs d'une catégorie de santé à haut risque vers une catégorie à faible risque, vous en tirerez profit, selon Sepulveda.